Alors qu'un débat sans vote sur la fin de vie se Nike TN
Requin déroule ce mercredi à l'Assemblée nationale, plus de 20 députés de l'opposition alertent quand aux dangers de la proposition de loi remise par Alain Claeys et Jean Leonetti à François Hollande.
En ces temps d'émotions, Montesquieu nous met en garde: «il ne faut toucher aux lois que d'une main tremblante». Cette maxime est particulièrement appropriée sur la difficile question de la fin de vie, où l'on ne saurait légiférer sans prudence.
Auteur du récent rapport sur la fin de vie avec Jean Leonetti, Alain Claeys défendait en décembre dernier, dans les colonnes de L'Obs, «une sédation profonde et continue», permettant aux gens «de partir doucement et sans souffrance». Il a déclaré toutefois être fermement opposé au suicide assisté et à l'euthanasie, car selon lui, «à partir du moment où l'on lève un interdit, Nike Tn
Requn Pas Cher on ouvre la voie à de plus en plus de transgressions». Il suffit de constater l'escalade en Belgique et aux Pays-Bas pour s'en convaincre. L'universitaire néerlandais Theo Boer, hier partisan d'une euthanasie encadrée, met aujourd'hui en garde les autres pays: «ne faites pas notre erreur! Quand le génie est sorti de la bouteille, il est impossible de le faire revenir».
Pourtant, le souci d'Alain Claeys de ne pas lever «l'interdit» entre en contradiction avec sa propre proposition de loi, remise avec Jean Leonetti à François Hollande, le 12 décembre 2014. En effet, ce texte suggère dans son article 1 de créer un nouveau droit «à la fin de vie dans la dignité et l'apaisement». Un vœu légitime, qui met toutefois le législateur dans une posture délicate, tant la dignité et l'apaisement Nike
TN Pas Cher ne peuvent être réduits exclusivement au domaine médical et juridique.
En réalité, plutôt que de créer un droit à la fin de vie, le texte s'aventure sur la pente glissante d'un droit à la mort.
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