Niant toute opacité ou plagiat, Olivier Schrameck a expliqué aux députés que s'ils n'étaient pas contents du processus de nomination, il leur revenait de faire changer les choses. Pour Olivier Schrameck, le président du Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA), les derniers jours ont un air de ?campagne de déstabilisation? – une campagne alimentée par des articles publiés par Mediapart et Le magazine du Monde. Autant dire que ce mardi, l'ancien conseiller d'Etat avait presque l'air ravi de pouvoir expliquer, devant la Commission des affaires culturelles de l'Assemblée nationale, le choix du CSA de nommer Delphine Ernotte à la présidence de Nike Tn Pas Cher France Télévisions – nomination critiquée pour plusieurs motifs, en tête desquels l'?opacité? air rift ninjade la procédure et des soup?ons de manipulation dans le choix final. A LIRE AUSSI : France Télévisions : soup?ons de plagiat sur le projet de Delphine Ernotte Expliquer donc, mais pas trop quand même : si la procédure a été placée sous le sceau de la confidentialité, ce n'est pas pour tout balancer un mois plus tard. Olivier Schrameck a donc garanti que ?le délibéré s'est déroulé, au terme d'une procédure parfaitement régulière, et en dehors de toute pression, qu'elle soit politique, économique ou personnelle?. Et d'affirmer : ?Je n'ai ni démarché des personnalités pour les inciter à se présenter, ni dissuadé qui que ce soit.? Bien s?r, impossible d'en dire plus : le président du CSA s'oblige à un devoir de neutralité… Sur le rejet de TN Requin candidatures comme celle de Marie-Christine Saragosse, la PDG de France Médias Monde (RFI,Tn Nike France 24), considérée par de nombreux commentateurs comme la plus sérieuse, Olivier Schrameck a rappelé ?qu'aux termes de la loi, c'est la décision de nomination qui doit être motivée, et non les rejets des autres candidatures?. Mais il a reconnu, confirmant pour le coup des informations de presse, que la mise à l'écart de Marie-Christine Saragosse avait été dictée par la volonté de ne pas recréer un jeu de chaises musicales dans l'audiovisuel public, alors qu'avait lieu une crise à Radio France : le CSA ?a pu être inspiré également […] des conséquences de notre décision sur les entreprises qui relèvent de notre pouvoir de nomination?. Quant à la confidentialité des noms et des auditions des candidats, invoquant une jurisprudence déterminée en 2000 par une décision du Conseil constitutionnel, Olivier Schrameck a estimé que cette nike tn uk confidentialité ?peut contribuer à protéger l'autorité de nomination des pressions extérieures en tous genres? et ?peut aussi permettre un dialogue sincère et approfondi avec chacun des candidats?. Et en dernier ressort, bien s?r, ?c'est au législateur, qu'il revient, s'il le souhaite […] de trancher lui-même ces questions?, a-t-il ajouté à destination des députés qui l'auditionnaient. Et puis enfin, sur les accusations de plagiat contre le projet de Delphine Ernotte, qui serait inspiré de celui de Didier Quillot, Olivier Schrameck a affirmé n'avoir ?aucun doute? sur la probité de l'impétrante. Et si beaucoup de projets ont pu avoir des points communs, a-t-il expliqué, ce ?ne peut pas être sans lien avec le rapport que le CSA a lui-même remis sur le bilan de quatre années de la gestion de France Télévisions, ni avec le fait […] tn pas cher lacoste que le gouvernement a souhaité rendre publiques des orientations? pour le groupe public après la remise d'un autre rapport, supervisé celui-là par le conseiller à la Cour des comptes Marc Schwartz.
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