Pour faire face à la hausse de ses dépenses militaires et à la baisse de ses revenus pétroliers, l'Arabie Nike Tn Pas Cher saoudite doit entamer ses réserves financières. Une politique qui sauve les meubles à court terme mais qui est intenable dans la durée dans un pays où le calme relatif Nike TN repose sur de conséquents transferts sociaux. Atlantico : En février et en mars 2015, l'Arabie saoudite a dépensé 36 milliards de dollars, pris sur les réserves de sa banque centrale soit 5% de l'ensemble de ses réserves. En cause, Nike Requin la chute du prix du baril, et les dépenses liées à sa politique de défense. De quoi cette spirale grignotant les réserves est-elle le signe concernant le pays ? Thierry Coville : L'Arabie saoudite représente la quintessence de ce que l'on appelle une "économie pétrolière". Elle est totalement dépendante de sa matière première : les exportations de pétrole brut représente environ 90% des recettes en devises, et 90% des recettes budgétaires. Le reste des recettes est, de plus, en partie liée au domaine de la pétrochimie... Cette difficulté à faire rentrer des recettes est également le sympt?me d'un système Nike Tn fiscal complètement sous-développé. Cela crée donc une vraie difficulté budgétaire : comment gérer les ressources pétrolières dans une optique de long terme ? A priori, la bonne méthode est d'utiliser les excédents et réserves et nike air rift blanc de les dépenser quand les choses tournent mal. Assez paradoxalement, on peut donc considérer que, malgré ses défauts, ces dépenses sont un signe, dans un sens, de bonne gestion : si l'Arabie saoudite peut injecter ainsi 36 milliards de dollars pour soutenir son économie, c'est parce qu'ils les avaient mis en réserve ! En Iran, par exemple, le fond créé en 2000 a été dépensé par l'ancien président Ahmadinejad pour des projets sans rapport, et quand la période des sanctions s'est abattue sur le pays, l'Iran n'avait rien pour se prémunir des effets provoquées.
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